Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Pelléas et Mélisande
EAN : 9791041917532
Édition papier
EAN : 9791041917532
Paru le : 23 déc. 2022
9,99 €
9,47 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791041917532
- Réf. éditeur : 271183
- Date Parution : 23 déc. 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 90
- Format : H:220 mm L:170 mm E:7 mm
- Poids : 172gr
- Résumé : Stéphane Mallarmé écrivait, à propos de cette tragédie symbolique, qu'il s'agissait d'une «variation supérieure sur l'admirable vieux mélodrame». L'intrigue est conventionelle. Golaud, prince d'Allemonde recueille à l'orée d'un bois une jeune fille, Mélisande, dont il veut faire son épouse. Mais c'est du frère de Golaud, Pelléas, que Mélisande tombe amoureuse et cette passion se terminera en drame. L'histoire n'est ici prétexte que pour dérober au silence ses secrets. Peu de choses sont réellement dites, tout est suggéré. Cette pièce fut adaptée à l'opéra par Claude Debussy.
- Biographie : Maurice Polydore Marie Bernard Maeterlinck (1862-1949) est un écrivain belge, francophone de Flandre. Il obtient le prix Nobel de littérature en 1911. Le Prix Nobel qui échoit à Maurice Maeterlinck en 1911 a une triple signification. Il couronne tout d'abord une oeuvre quadruple, faite qu'elle est de poésie, de théâtre, d'essai et de traduction. Il consacre ensuite l'esthétique symboliste. Il constitue enfin la première légitimation d'une littérature francophone extra-hexagonale. Mais c'est surtout sa réflexion sur la construction sociale du monde naturel qui vaut à Maeterlinck sa réputation de philosophe spiritualiste : il célèbre l'unicité de l'univers dans La vie des abeilles (1901), que complèteront plus tard La vie des termites (1926) et La vie des fourmis (1930).