PICOUNOC LE MAUDIT

EAN : 9791041978618

LE MAY LEON-PAMPHILE

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Édition papier

EAN : 9791041978618

Paru le : 11 déc. 2023

19,90 € 18,86 €

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Détails

EAN13 : 9791041978618
Réf. éditeur : 322748
Date Parution : 11 déc. 2023
Disponibilite : Disponible
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 230
Format : H:220 mm L:170 mm E:13 mm
Poids : 365gr

Résumé

Résumé : "Picounoc le Maudit" est une oeuvre de Léon-Pamphile Le May. Ce livre narre les aventures d'un jeune homme du nom de Picounoc, membre de la tribu Micmac, dans le contexte de la colonisation européenne du Canada. Ce récit se concentre sur les interactions entre les Autochtones et les colons européens, ainsi que sur les défis et les conflits résultant de ces rencontres culturelles. L'histoire présente un panorama des changements sociaux et des tensions qui ont émaillé cette époque historique, en offrant un regard sur les réalités et les difficultés des peuples autochtones face à la colonisation.
Biographie : Pamphile Le May est né en 1837 dans le rang Saint-Eustache à Lotbinière. Il est le cinquième d'une fratrie de 14 enfants nés de Léon Lemay et Marie-Louise Auger1. Il étudie à Trois-Rivières chez les frères des écoles chrétiennes et au petit séminaire de Québec, où il se lie d'amitié avec Louis-Honoré Fréchette. Il étudie le droit en 1858 puis comme plusieurs Canadiens français de son époque, il part aux États-Unis dans le but de trouver du travail. Il se rend à Portland dans le Maine, où il ne reste que quelques jours. Au retour, il s'arrête à Sherbrooke, où il occupe un emploi de commis dans un magasin durant deux semaines. Revenu chez lui, il entreprend d'entrer chez les oblats et commence ses études de philosophie et la théologie. De santé fragile, il doit abandonner ses études, mais il se remet au droit et devient traducteur à l'Assemblée législative du Canada-Uni. Pour la plus grande partie de sa vie, il habite à la ville de Québec. Le 22 octobre 1863, il se marie à Marie-Honorine-Sélima Robitaille. De leur union naîtront 14 enfants. Sa première fille se prénomme Évangéline, en référence à l'héroïne du poème de Longfellow dont il faisait la traduction au moment de sa naissance. Ayant parallèlement trouvé du temps pour l'écriture, il est admis au barreau du Québec en 1865. À l'âge adulte, il modifie la graphie de son nom, passant de « Lemay » à « LeMay » puis finalement « Le May ». Ses ouvrages les plus connus sont Les Contes vrais, Le pèlerin de Sainte-Anne, Picounoc le maudit. Il a traduit les oeuvres de William Kirby et Henry Wadsworth Longfellow, notamment le poème Évangéline.