Pièces romantiques

Symetrie - EAN : 9790231801866
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Édition papier

EAN : 9790231801866

Paru le : 1 déc. 2006

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  • EAN13 : 9790231801866
  • Réf. éditeur : SYM-0186-6
  • Editeur : Symetrie
  • Date Parution : 1 déc. 2006
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 63
  • Format : H:297 mm L:210 mm E:6 mm
  • Poids : 185gr
  • Résumé : Hélène de Montgeroult a laissé une œuvre qui compte dans l’histoire de la musique de piano. Ce sont surtout les 114 études et les variations, fugues, fantaisie du Cours complet qui constituent un chaînon essentiel entre la génération de Mozart et Clementi et celle de Schumann, Mendelssohn et Chopin, que les études annoncent. Extrême sensibilité harmonique, parcours tonal déjà romantique, invention d’idiomes pianistiques qu’on retrouvera chez les romantiques, l’art d’Hélène de Montgeroult la place au premier rang de sa génération, celle de Dussek, Steibelt, Cramer, Field et Hummel, mais sans jamais avoir cédé, comme certains d’entre eux, aux effets faciles des pièces pittoresques et pots-pourris.

    Jérôme Dorival
  • Biographie : Hélène de Montgeroult, née Hélène de Nervo, vit le jour à Lyon le 2 mars 1764. Élève de Dussek, Hüllmandel et Clementi, elle fut une des plus grandes virtuoses de son temps mais, du fait de son statut d’aristocrate, avait acquis cette réputation en se produisant exclusivement dans les salons.

    Inquiétée sous la Révolution, elle improvise des variations sur la Marseillaise devant le Comité de salut public et évite ainsi la guillotine.

    Première femme nommée professeur de piano au conservatoire de Paris en 1795 sur la recommandation de Bernard Sarrette, elle en démissione en 1798, officiellement pour raisons de santé. Elle forme des pianistes tels que Cramer, Pradhère ou encore Boëly et joue avec de nombreux virtuoses de son époque, dont Pierre Baillot et est une intime de madame de Staël qui s’inspire d’elle pour son personnage de Corinne.

    Elle se tourne ensuite vers la composition et écrit un Cours complet pour l’enseignement du pianoforte méthode proposant quelque 114 études progressives annonciatrices du romantisme. Elle meurt à Florence en 1836 et est enterrée dans le cloître de l’église Santa Croce.
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