Pistes du maroc a travers l'histoire - tome 8, le jebel siroua et le pays ouaouzguit

Extrem Sud - EAN : 9782864106050
JACQUES GANDINI/HOCE
Édition papier

EAN : 9782864106050

Paru le : 1 juil. 2014

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  • EAN13 : 9782864106050
  • Réf. éditeur : TOME8
  • Collection : GUIDE J. GANDIN
  • Editeur : Extrem Sud
  • Date Parution : 1 juil. 2014
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Format : H:210 mm L:145 mm E:21 mm
  • Poids : 690gr
  • Résumé : Grandiose, magnifique, le chaos granitique du Siroua a créé un véritable labyrinthe noir, marron, beige, avec des roches aux noms bizarres connus des seuls géologues. Très montagneux, avec des arbres rares, le pays Ouaouzguit est presque exclusivement un pays de transhumance, avec une culture d’orge et de maïs en terrasses étroites auprès des villages; villages fondus dans le paysage et exposés au soleil près des sources fraîches et chantantes, des assifs à sec ou des barrages presque vides. Habités l’hiver, ils sont désertés pendant l’été. Presque tous les habitants suivent alors les troupeaux vers les azibs pour profiter de la production de lait et des jardins d’été. Tout au plus reste-t-il au village un gardien par quartier de maisons qui se charge d’irriguer les cultures et qui fait encore office de portier de l’agadir, le magasin commun, toujours en activité. Les tribus occupant les terroirs les plus élevés sont celles qui partent le moins longtemps, juillet et août seulement; d’autres, plus rares, s’ab entent de mars à septembre et pratiquent des cultures, grands jardins d’éden près des bergeries. Tout cela révèle une vie complètement différente de celle des Berbères de l’Atlas. Ignoré par la plupart des touristes, le Siroua présente une richesse culturelle indéniable. De nombreux greniers fortifiés témoignent du fonctionnement clanique passé et encore actuel dans plusieurs villages. Leur architecture et leur emplacement ont été déterminés par les contraintes du milieu (montagne, vallée, cœur de village…) et les menaces extérieures. Construits pour protéger des attaques étrangères, la tradition encore très présente aujourd’hui incite les villageois à toujours utiliser ces greniers, mais comme de simples entrepôts à récoltes. Il est rare d’y rencontrer une maison isolée. La règle a toujours été le village groupé, et situé sur le terrain en pente juste au-dessus de la zone des champs en terrasse. Les maisons sont pour la plupart, construites en leuh, souvent recouvert de pierres sur la face ouest, côté pluie dominante.
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