Poèmes de Pauline Johnson Tekahionwake, première traduction française

Les 17 Muscles - EAN : 9782956470908
JOHNSON TEKA PAULINE
Édition papier

EAN : 9782956470908

Paru le : 31 mai 2018

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  • EAN13 : 9782956470908
  • Réf. éditeur : 1
  • Collection : VERS & VERSIONS
  • Editeur : Les 17 Muscles
  • Date Parution : 31 mai 2018
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 221
  • Format : H:210 mm L:147 mm E:20 mm
  • Poids : 447gr
  • Résumé : La Métisse Pauline Johnson Tekahionwake nous livre un témoignage sur la vie des Premières Nations et les débuts de la Confédération canadienne. Une rebelle iroquoise, un chasseur mohawk, un trappeur français, un commis de ferme, un corbeau, une abeille, un cèdre, un flocon, un canoë, un train deviennent sous sa plume des entités singulières et insolites. Ses oeuvres nous insufflent les bourrasques du Grand Nord, nous transportent au Far West vu de l’intérieur, sondent les rapports de violence entre les hommes, racontent les déboires, les conquêtes et les sévices d’une modernité qui se cherche, tantôt aspire et fascine, tantôt accable et terrifie.
  • Biographie : Emily Pauline Johnson Tekahionwake (Ontario 1861 – Colombie Britannique 1913) est une figure classique de la littérature anglophone canadienne. De père chef iroquois et de mère anglaise, elle fut perçue à la fois comme une « princesse Mohawk » et comme une « femme du nouveau monde » qui se libère de l’ère victorienne.
    À vingt-trois ans, elle déménage de la réserve des Six-Nations à Brantford, Ontario. où elle gagne sa vie par des contributions à des périodiques tels que « Saturday Night » et « The Week ». Elle y mène une vie de bohème et acquiert la réputation d'un « esprit libre ». Elle est sportive et libre de son corps, navigatrice de rivières, amie du vent, des torrents, des oiseaux et des arbres.
    À vingt-cinq ans, l’interprétation sur scène d’un poème militant pour la défense des peuples autochtones, « Cri d’une épouse indienne », lui ouvre la carrière de la scène.
    Elle conçoit ses spectacles en deux temps, première partie en robe de soirée et deuxième partie en costume indien. Elle se produit désormais sur le continent d’Est en Ouest et jusqu’en Angleterre. Son premier recueil de poésie, « The White Wampum » est publié à Londres par John Lane, éditeur d’Oscar Wilde et d’Aubrey Beardsley. Elle se rapproche au cours de ses voyages des communautés autochtones et se lie d'amitié avec Nellie McClung, suffragiste de premier plan.
    Elle s'installe à Winnipeg en 1898, puis, en 1906, à Vancouver, où elle explore pendant les dernières années de sa vie la culture de la communauté Squamish.
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