Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
POESIE
Gallimard - EAN : 9782070322497
Édition papier
EAN : 9782070322497
Paru le : 13 mars 1984
11,20 €
10,62 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782070322497
- Réf. éditeur : A32249
- Collection : POESIE/GALLIMAR
- Editeur : Gallimard
- Date Parution : 13 mars 1984
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 288
- Format : 1.50 x 11.00 x 17.70 cm
- Poids : 223gr
- Résumé : "Le poète Maurice de Guérin n'est ni un "grand", ni un "petit" romantique, bien que, mort à vingt-huit ans, il ait été le contemporain de Lamartine et de Hugo, de Pétrus Borel et d'Aloysius Bertrand. Il n'est pas non plus, comme Gérard de Nerval, un de ces génies marginaux que leur époque a méconnus et que la nôtre a portés au pinacle. Né en 1810 dans l'humble manoir du Cayla, au sein d'une famille catholique et légitimiste, il y revint mourir en 1839, parmi les siens, et muni des sacrements de l'Église. Une bonne partie de son oeuvre est assez fade, et sent l'élève doué qui imite le lyrisme de Lamartine et l'intimisme de Joseph Delorme, alias Sainte-Beuve. Pourtant ce bon élève a été, brièvement, un poète de génie, inconnu de son vivant, et découvert peu à peu après sa mort, sous le Second Empire qui vit apparaître la "modernité" poétique de Baudelaire et de Mallarmé." Marc Fumaroli.
- Biographie : Né en 1810 près d'Albi, Maurice de Guérin renonce à sa vocation ecclésiastique sous l'influence de Lamennais. Ami de Barbey d'Aurevilly, après quelques tentations mondaines, il se replie entièrement sur la poésie et la vie intérieure. Il meurt atteint de phtisie au manoir du Cayla en 1839.