Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Princesse, alzheimer et nous
EAN : 9782414014347
Édition papier
EAN : 9782414014347
Paru le : 12 janv. 2017
8,00 €
7,58 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782414014347
- Réf. éditeur : 819946
- Collection : CLASSIQUE
- Date Parution : 12 janv. 2017
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 42
- Format : H:204 mm L:134 mm E:3 mm
- Poids : 65gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Avons-nous un profil qui nous condamnerait ? Non. < Je ne vous dirai pas comment réagir, ni comment canaliser l'entourage, je fais selon l'instant, mon instinct, mon vécu. Dans ce témoignage, il s'agira de mon père qui vit dans le déni, de mon époux et moi, mais avant tout de Princesse. Évidemment je n'ai pas la science infuse, mais chacun connaît une personne atteinte ou en connaîtra une dans sa vie. Oui, le cancer reste le numéro un, mais là, je ne parlerai que de la maladie d'Alzheimer. Les personnes atteintes de près ou de loin pourraient se retrouver dans mon témoignage. Pas de compassion, mais comment vivre avec Alzheimer ou comment essayer surtout, tout en conjuguant sa propre vie.
- Biographie : Otage volontaire Nos journées défilent, inexorablement Tu souris gentiment, calmée par ma présence, Oubliant le mari, mon père qui se ment Sur l'espoir d'un meilleur, ignorant la sentence Il ne souhaite que moi, tel un citron pressé Je tais le désespoir, je m'empêche de vivre Qu'il est long le chemin, ressassons le passé Car de ce lendemain, je ne vois que du givre Dans le rêve, je fuis, l'oasis pour délit Pour un temps imprécis, je goûte l'heure douce M'anesthésiant un peu, je glisse dans le lit Sur poèmes soyeux m'offrant un coup de pouce Je te hais Alzheimer, tu souris du malheur La famille livre dans l'humeur la plus laide La douleur, le soupir, la rancœur et le pleur! Alors, je dérive sur la page qui m'aide.