PRISON ET JUSTICE... QUAND DES JUGES SONT HORS LA LOI.

Nouveau Regard - EAN : 9782930998084
TIMMERMAN ARMEL
Édition papier

EAN : 9782930998084

Paru le : 1 déc. 2020

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  • EAN13 : 9782930998084
  • Editeur : Nouveau Regard
  • Date Parution : 1 déc. 2020
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 446
  • Format : H:210 mm L:148 mm E:32 mm
  • Poids : 583gr
  • Résumé : Je suis coupable des faits qui m'ont été reprochés. J'ai mérité la sanction que le Tribunal de Grande Instance de Cherbourg m'a infligée. Quatre années d'emprisonnement ferme pour avoir commis des délits financiers liés à la gestion catastrophique et insensée de mon entreprise. Je n'ai du reste pas interjeté appel de la décision. Il m'importait davantage de faire table rase de mon passé et de mettre à profit le temps de ma détention en me préparant au mieux à la sortie par l'accomplissement d'un travail sur moi-même tant je n'avais pas pris conscience de la nocivité de mes actes.
    Cependant, quoi que j'aie fait, je ne méritais en aucun de vivre ma peine de cette manière, la gestion de son exécution ayant été machiavélique d'un bout à l'autre.
    Je l'ai effectuée dans deux établissements pénitentiaires: de novembre 2013 à novembre 2014 à la maison d'arrêt de Cherbourg dans la Manche, sous le régime de la détention provisoire, pour la terminer, près de cinq années plus tard, au centre de détention d'Argentan dans l'Orne. Deux structures très différentes l'une de l'autre en ce que la première est vétuste et surpeuplée - jusqu'à neuf personnes par cellule de 25 m² - et la seconde, beaucoup plus confortable, avec un seul occupant par cellule.
    Mais c'est là, la seule différence notable. Car pour l'essentiel, c'est-à-dire la prévention de la récidive et la préparation à la sortie, le manque de moyens humains et matériels est criant dans les deux établissements.
    En l'état actuel des prisons françaises, je l'affirme, la prévention de la récidive est une fumisterie et la préparation à la sortie une mystification. Même si les personnels de surveillance, tant décriés, et les travailleurs sociaux, impuissants, oeuvrent chaque jour pour rendre la détention moins insupportable.
    Quant à certains juges, chargés de l'application des peines, force est de constater qu'ils n'usent pas exagérément des dispositifs alternatifs à l'enfermement.
    Loin s'en faut !
    Le traitement punitif de la sanction semble davantage leur convenir, les motiver même. Jusqu'à se fourvoyer, forts de leur pouvoir absolu.
    Mais surtout, ne leur dites pas.
    Il pourrait vous en coûter.
    Je l'ai appris à mes dépens…
    Je suis marqué à vie.
    En d'autres termes, il n'y a qu'une seule façon de sortir de prison sans aucunes séquelles... c'est de ne pas y entrer !...
  • Biographie : Médaillé d’or au Salon international des Inventions de Genève, deux titres en bronze au concours Lépine national et l’argent au niveau européen… Armel Timmerman collectionne les récompenses. Son sport à lui, ce sont les mots dont il use en connaisseur, défenseur et amoureux de notre belle langue française. Et doté de « l’extrême pointe du sens pratique » : le génie selon Cocteau, il est aussi inventeur, histoire de joindre « ludique à l’agréable » comme il dit.

    Écrivain public, biographe et romancier, ce sexagénaire au regard vif et à la plume habile a déjà commis une jolie ribambelle de livres dont des ouvrages pour enfants construits pour enrichir leur vocabulaire. Ce jongleur de syntaxe anime aussi des ateliers d’expression orale, de lecture et d’écriture.

    Mais ses nombreuses distinctions, il les doit à une toute autre activité, où les mots sont cependant toujours rois : les jeux de lettres. Ils rendent à la grammaire et autres conjugaison et orthographe leurs lettres de noblesse, réhabilitent le vocabulaire et réconcilient chacun avec le français, tout en nuances et richesses, trop souvent galvaudé. Le français se prête au jeu. « Je suis inquiet du niveau de français de nos scolaires d’aujourd’hui. Un élève sur six entrant en Sixième ne maîtrise pas la lecture et moins encore l’écriture » explique-t-il.

    Ce postulat a conduit Armel Timmerman à concevoir des jeux, vecteurs de plaisir et d’apprentissage, pour offrir à tous, dès l’enfance, la possibilité d’appréhender la langue française sans accomplir d’efforts importants. De fait, l’infinité de combinaisons qu’offre cette dernière se prête particulièrement bien au jeu.

    Esthétiques, fabriqués en Europe et de qualité, ses jeux s’appellent DÉPLIMO – DÉPLIKID – VIT’1 MOT et LUDIMO. Écoles, maisons de retraite, ludothèques, médiathèques, clubs de loisirs… ils sont nombreux à s’en être emparés. Des professionnels comme les enseignants, ergothérapeutes, orthophonistes et animateurs les considèrent même comme de véritables outils de travail !

    Et le Lépine ne s’y est pas trompé… Tirer la langue vers le haut. Quant au « Vit’1 Mot », il a reçu la médaille d’or au Salon mondial des Inventions de Genève, au nez et à la barbe des jeux électroniques chinois ! « On revient aux jeux traditionnels » note-t-il avec bonheur. Le jury international a aussi voulu récompenser le côté universel et culturel de son jeu. Évolutif, convivial et interactif, il a en effet pour particularité de fonctionner dans les principales langues européennes (Anglais, Allemand, Italien et Espagnol) et d’aborder la majorité des thèmes de l’enseignement général dispensés dans les établissements scolaires.
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