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Que d'histoires ! module 2 CM1, Un train pour chez nous
Magnard - Année édition 2006 - EAN : 9782210625112
Édition papier
EAN : 9782210625112
Paru le : 3 avr. 2006
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- EAN13 : 9782210625112
- Réf. éditeur : 62511
- Collection : Que d'histoires ! module 2
- Editeur : Magnard
- Année d'édition : 2006
- Classe : CM1
- Date Parution : 3 avr. 2006
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : S
- Nombre de pages : 32
- Format : H:290 mm L:220 mm E:5 mm
- Poids : 176gr
- Matière : Lecture
- Résumé : Azouz Begag se souvient du voyage familial accompli chaque année pendant son enfance : celui qui lui faisait quitter la cité de Lyon pour le ramener durant tout l'été au pays : l'Algérie. Ce texte richement illustré et très émouvant, à mi-chemin entre l'autobiographie et le récit de voyage, est l'occasion d'aborder la différence de culture entre l'Algérie et la France. Il pose aussi la question de l'immigration dans notre pays et constitue un très beau support pour parler de la relation entre un père et son fils.
- Biographie : Azouz Begag Sociologue de formation, Azouz Begag utilise toutes les cordes de son arc d’homme de lettres : romancier, nouvelliste, scénariste, essayiste pour raconter, expliquer, dénoncer, transmettre la place, l’histoire, la mémoire des immigrés algériens et de leur descendance en France. Azouz Begag est né, à Villeurbanne, le 5 février 1957. Les premières années de sa vie se déroulent dans les bidonvilles du Chaâba, ce que raconte son premier roman autobiographique, Le Gône de Chaâba (1986). Ses parents immigrés en France en 1948 l’ont toujours encouragé sur la voie des études. En 1984, Azouz Begag soutient sa thèse de doctorat sur le thème « l’immigré et sa ville » à l’université Lyon 2. Aujourd’hui, il est chargé de recherche en socio-économie urbaine, au CNRS à l’université Paris IV et professeur invité à Cornell Université aux États-Unis. Ses travaux, notamment La révolte des lascars contre l’oubli à Vaulx en Velin (1990), ou encore Rites sacrificiels des jeunes dans les quartiers en difficulté (1991) témoignent de son intérêt pour les jeunes issus de l’immigration. Azouz Begag est surtout un passionné de littérature, Camus, Hemingway, ou encore Stefan Zweig ont forgé son goût, durant son adolescence. En 1986, il se fait connaître du grand public avec son premier roman Le Gône du Chaâba qui recevra le prix des Sorcières en 1987 et sera adapté au cinéma par Jean-Pierre Sinapi en 1997. Dès lors, l’auteur explore, dans un style imagé, les difficultés auxquelles sont confrontés les jeunes d’origine maghrébine pris entre deux cultures. Ses œuvres littéraires donnent corps et voix aux populations pauvres des cités, aux jeunes des quartiers défavorisés. Avec les essais, Azouz Begag utilise une autre corde de son arc pour questionner le sujet de l’intégration : Bouger la banlieue (2012) ; pour dénoncer l’instrumentalisation politique du thème de l’immigration C’est quand il y en a beaucoup… (2011). Son engagement humaniste passe également par l’écriture du scénario de la BD Leçons coloniales (2012). Celle-ci traduit la volonté de transmettre l’Histoire notamment celle des massacres de Sétif en 1945. C’est encore la transmission d’une mémoire qui l’incite à participer en tant que consultant au documentaire de Yamina Benguigui Mémoires d’immigrés, l’héritage maghrébin (1998). Par ailleurs, nombreux de ses romans sont destinés à un jeune public. C’est pourquoi il fait le choix de la BD pour ses derniers ouvrages. Homme de conviction, il accepte la charge de ministre délégué à la promotion de l’égalité des chances pour le gouvernement de Jacques Chirac (UMP) de juin 2005 à avril 2007, mais il démissionne pour soutenir le candidat François Bayrou, président de l’UDF, à l’élection d’avril-mai 2007.