Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Quel poison, cette Justine !
Tournez La Page - EAN : 9782364830936
Édition papier
EAN : 9782364830936
Paru le : 25 mai 2021
18,00 €
17,06 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782364830936
- Editeur : Tournez La Page
- Date Parution : 25 mai 2021
- Disponibilite : Disponible
- Nombre de pages : 274
- Format : H:210 mm L:135 mm E:20 mm
- Poids : 300gr
-
Résumé :
Être marié à une femme laide et dotée d’un caractère infernal n’est pas très réjouissant. Aussi Lucien qui, attiré par le superbe domaine de Justine, a commis la grosse bêtise de l’épouser, se désespère-t-il en réalisant qu’il est condamné à passer le restant de ses jours en compagnie de cette harpie. Celle-ci, hélas, ne semble pas avoir mis la mort à son programme immédiat. Il aspire à foutre le camp, seulement quitter un beau troupeau de vaches le désole. Certes il pourrait essayer le bouillon de 11 heures, mais, parfaitement honnête, il répugne à utiliser ce moyen, pourtant à l’efficacité incontestable.
Par chance, Gilbert, ce qui se fait de mieux en matière d’abruti, va se charger de dénouer heureusement cette fâcheuse situation. - Biographie : André L’Héritier, docteur vétérinaire, (Maisons-Alfort 1960), a exercé la médecine rurale à Massiac, petite ville du Cantal, jouxtant la Haute-Loire et le Puy-de-Dôme. Ses romans sont largement inspirés par tout ce qu’il a vu et entendu lorsque, encore jeune et beau, il parcourait, chaussé+ de bottes de caoutchouc, les étables de ses clients. Si les vaches ne parlaient guère, en revanche leurs propriétaires ne se privaient pas de raconter de savoureuses histoires, avec un brin d’accent annonçant le Midi. Eh oui, nous autres Auvergnats apprécions la rigolade. Chez nous, les bonnets de nuit sont rares.