Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Recherches Archéologiques - N° 25 La bastide Pons-de-Prinhac. Un lotissement périurbain de Toulouse au XIVe siècle
EAN : 9782271149657
Paru le : 18 janv. 2024
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782271149657
- Réf. éditeur : 1012198
- Collection : INRAP
- Editeur : CNRS Editions
- Date Parution : 18 janv. 2024
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 283
- Format : H:282 mm L:222 mm E:15 mm
- Poids : 1.036kg
-
Résumé :
Cet ouvrage présente la première mise en évidence archéologique, pour le XIVe siècle, de la fondation à l'initiative de propriétaires fonciers d'une bastide, un quartier d'habitation hors les murs aux abords d'un grand centre urbain.
Cet ouvrage présente la première mise en évidence archéologique, pour le XIVe siècle, de la fondation à l'initiative de propriétaires fonciers d'une bastide, un quartier d'habitation hors les murs aux abords d'un grand centre urbain. Ce fait n'était connu que par des documents d'archives. L'étude archéologique révèle les aspects concrets en matière d'architecture et d'urbanisme de cet ensemble qui s'étendait près de la porte Montgaillard, sous l'actuel muséum de Toulouse. L'étude des sources historiques a précisé le contexte politique et social.
L'étude archéologique a d'abord permis de préciser le plan d'urbanisme, les dimensions des parcelles alloties et le réseau de voirie construit pour desservir ce nouveau quartier. En outre, elle a été un des premiers cas d'observation d'un type d'architecture médiévale encore rarement observée, basée sur l'utilisation de la terre crue. Les maisons neuves se caractérisent en effet par des élévations de torchis sur clayonnage reposant sur des solins en terre compactée.
Détruit par un violent incendie, probablement dû à un épisode belliqueux, ce quartier fut abandonné, transformé en jardins et a été ensuite peu impacté par les constructions postérieures. Ces conditions ont permis la découverte d'un important mobilier céramique et métallique laissé sur place. Cet impressionnant corpus, abondant et très varié, constitue une base solide pour dresser un portrait social des habitants de ce quartier et de leurs activités domestiques.