Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Rome sous le regard des historiens latins
Flammarion - EAN : 9782080712622
Édition papier
EAN : 9782080712622
Paru le : 14 mai 2008
15,00 €
14,22 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782080712622
- Réf. éditeur : S51113
- Collection : GF
- Editeur : Flammarion
- Date Parution : 14 mai 2008
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 642
- Format : H:178 mm L:109 mm E:29 mm
- Poids : 442gr
- Résumé : Le regard des historiens latins sur Rome et son empire, parfois sévère, plus souvent admiratif, nous donne la mesure des transformations qui ont permis à une modeste bourgade du Latium de devenir la maîtresse du monde. De Jules César au prêtre Orose, en passant par Salluste, Tite-Live, Tacite, Suétone ou encore Florus, Justin et Ammien Marcellin, tous ont été témoins et parfois acteurs des faits qu'ils rapportent, ou bien héritiers d'une riche tradition dont il ne nous reste que des fragments épars. Leur point de vue reflète les préoccupations de leur époque, au premier rang desquelles l'octroi de la citoyenneté et les problèmes de l'intégration. D'une oeuvre à l'autre, reviennent les clichés qui ont marqué la mémoire collective des Romains : l'humiliation des Fourches caudines, la prise de Rome par les Gaulois, l'occupation de l'Italie par les troupes d'Hannibal, l'incendie du Capitole, l'horreur des guerres civiles mais aussi la célébration des triomphes et les cérémonies en l'honneur des dieux. Longtemps favorisée par la Fortune, la Ville a fini par subir l'invasion des hordes barbares. Mais elle doit à ceux qui ont écrit son histoire, outre le sentiment de sa propre grandeur, la reconnaissance de sa mission culturelle et civilisatrice.