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Sambre - Tome 08
EAN : 9782344015773
Paru le : 28 nov. 2018
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- EAN13 : 9782344015773
- Réf. éditeur : 4733488
- Collection : 24X32
- Editeur : Glenat
- Date Parution : 28 nov. 2018
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 72
- Format : H:320 mm L:240 mm E:12 mm
- Poids : 654gr
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Résumé :
L’apothéose d’une série culte. Le chef-d’œuvre romantique d’Yslaire.
Série culte du 9e Art, Sambre est un monde hors du temps, dont chaque pierre a été taillée minutieusement, au rythme artisanal de huit albums en trente ans. C’est aussi l’œuvre d’une vie, celle d’un artiste romantique, Bernard Yslaire, dont le talent avait déjà bouleversé l’école belge de la bande dessinée avec Bidouille et Violette, les premiers héros amoureux du Journal de Spirou. Sambre marque une rupture décisive au plan de l’écriture comme de l’esthétique de la série franco-belge. Dans les cases, Bernard Yslaire gomme les frontières de l’audace créatrice. L’émotion habite le dessin et porte le récit. L’auteur touche le lecteur au cœur, lui fait partager ses passions, ses doutes, ses écorchures.
La tragédie des Sambre interroge le regard, la perception même que nous pouvons avoir du sens de l’histoire. Pour la première fois, des personnages prennent une dimension métaphysique, à l’image du titre fondateur de la saga, Plus ne m’est rien, publié en 1986 par Jacques Glénat. Ce premier tome, scénarisé avec la complicité de Yann, alias Balac, s’imposera d’emblée parmi les best-sellers de la bande dessinée contemporaine. Il s’en vendra plus de 250 000 exemplaires. Le triomphe de la série ne s’est jamais démenti depuis. À la différence des héros classiques, les Sambre ont une âme. Ils imposent leur propre rythme au destin.
Bernard Yslaire est un créateur d’exception, en quête de l’essence des êtres. C’est un maître du temps long, celui de l’immortalité des chefs-d’œuvre. Série hors-norme, Sambre dégage une forme de perfection dans le cheminement graphique et narratif d’un auteur dont chaque trait vise au dépassement de soi. Le nouvel épisode de Sambre, Celle que mes yeux ne voient pas... s’annonce comme le huitième et avant-dernier tome de la saga dont les héros émancipés auront été, à leur insu, les jouets révolutionnaires de l’utopie sociale à la française
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Biographie :
Né en 1957 à Bruxelles, auteur-dessinateur de bande dessinée et pionnier du numérique, Bernard Yslaire se réinvente à chaque projet, changeant de style, de média et de signature (Hi-slaire, iSlaire, Sylaire...) pour mettre en scène ses univers d’anges et d’amants au romantisme sombre. Mais à travers ses métamorphoses, un artiste se dessine, intègre et sensible, questionnant son temps à travers l’Histoire.
Il débute à Spirouà 16 ans et lance en 1978 Bidouille et Violette, première histoire d’amour « mélancomique » de la BD franco-belge. En 1985, associé à Balac pour le premier titre, il entame la tragédie romantique de Sambre, saluée par la critique et le public comme l’une des œuvres majeures des années 1980. Sept albums et trois cycles dérivés de La Guerre des Sambre confirmeront le succès. La saga se poursuit toujours aujourd’hui.
Parallèlement dans les années 1980, il cofonde le théâtre d’avant-garde Idéal Standard, publie des dessin de presse dans le quotidien La Libre Belgique, réalise un générique pour la RTBF, assure la communication graphique du Théâtre Impopulaire et du Rideau de Bruxelles. Dès 2000, il multiplie alors les rencontres créatrices, collabore ainsi avec les metteurs en scène Jaco van Dormael et Didier Roten pour le cinéma, Jacques Neefs et Alain Populaire pour le théâtre, et l’architecte Francis Metzger pour des scénographies publiques.
À partir de 1997, contre toute attente, il crée, produit, programme et réalise l’un des premiers web-feuilleton expérimental sur Internet. Pendant trois ans, Mémoires du XXe ciel oppose le regard muet d’un ange photographe et les souvenirs d’une vielle psychanalyste sur l’Histoire du vingtième siècle. Sous le titre de XXeciel.com, le récit est adapté en bande dessinée, bousculant tous les codes du genre. Le Ciel au-dessus de Bruxelles (2006- 2007) confirmera les interrogations de l’auteur sur les médias et l’Histoire, son dialogue plastique avec la photographie, et le tout-numérique.
En 2009, il s’associe à l’écrivain Jean-Claude Carrière pour Le Ciel au-dessus du Louvre, évocation d’un tableau inachevé du peintre David, commandé par Robespierre au temps de la Révolution française, et questionnant sa représentation. Dans le prolongement du livre, intégralement dessiné sur palette numérique, Yslaire expose au Musée du Louvre des « tableaux vidéo- graphiques », ou ses esquisses s’auto-dessinent sur écrans, en temps réel.
En 2012, avec Laurence Erlich, il crée Úropa, magazine pionnier du numérique, dont les 3 premiers numéros paraissent sous forme d’applis pour iPad et iPhone. Récit mosaïque de politique-fiction sur l’Europe de 2032, composé d’ar ticles, de photos, vidéos et bande dessinée, le projet interroge notre futur, dans un mélange d’imaginaire et de réel, caricaturant notre présent.
L’œuvre bande dessinée d’Yslaire s’est déjà vendue à plus d’un million et demi d’exemplaires, est traduite en plus de dix langues, dont le Coréen. L’artiste a été exposé dans de multiples galeries et musées, européens et asiatiques, et couronné d’une quinzaine de prix internationaux. En 2009, le Ministère Français de la Cultu