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Sentences létales
Clef D Argent - EAN : 9782908254822
Édition papier
EAN : 9782908254822
Paru le : 9 juil. 2010
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- EAN13 : 9782908254822
- Réf. éditeur : CAR54
- Collection : NOKHTHYS
- Editeur : Clef D Argent
- Date Parution : 9 juil. 2010
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 76
- Format : H:175 mm L:11 mm E:6 mm
- Poids : 65gr
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Résumé :
Avec Sentences létales, La Clef d'Argent présente le deuxième volume de la série des aphorismes noirs de Nihil Messtavic, initiée avec le terrible et désormais célèbre Crachoir du Solitaire.
Couverture illustrée par Fernando Goncalvès-Félix.
Extrait:
«La mélancolie est la mélodie du néant.»
«La réalité est une hypothèse.»
«Il est trop tard, je suis né.»
«N'avoir ni âge, ni sexe, ni patrie, ni espèce, ni réalité, ni existence.»
«Quand chaque instant devient un doute.»
«Ce n'est pas que je vis, c'est que je ne suis pas tout à fait mort.» - Biographie : On ignore encore presque tout de cet auteur. Vedma Nàdasty, qui a entrepris de traduire son oeuvre, et à qui nous devons de l'avoir un jour exhumée de la réserve d'une bibliothèque de province polonaise, dit de lui dans ses «Notes introductives» au Crachoir du Solitaire, le terrible recueil d'aphorismes noirs de Messtavic: «L'homme -- c'était un homme, cela du moins nous le savons -- était instruit. Son vocabulaire, sa maîtrise de la syntaxe le prouvent assez. Il était aussi polyglotte. Il a utilisé pas moins de quatre langues pour rédiger ses noires chroniques du désespoir, et il les maîtrisait toutes avec une égale aisance. Son intérêt personnel le portait aussi bien vers la philosophie, la littérature, que vers le dessin et la poésie. Le contenu de la malle me l'a prouvé. C'est tout ce que nous savons de lui. C'est tout ce que nous saurons jamais, fort probablement. Rien, dans ses écrits, ne permet vraiment de les dater, même si on peut se hasarder à supposer qu'il a vécu quelque part entre le milieu du XIXe siècle et le tout début du XXe. Car il a lu Nietzsche dont il reprend parfois les majestueuses figures, et il semble vouloir s'engager à tâtons, par moments, dans l'impasse cioranienne, même s'il est raisonnable de supposer, si l'on considère l'ancienneté de la malle, qu'il n'a jamais pu connaître l'oeuvre de l'ascète de la rue de l'Odéon. Quant à déterminer d'où venait Nihil Messtavic -- puisque tel il se présente à nous --, quant à tenter de préciser quelle était sa nationalité -- si seulement il en avait une --, cela demeurera sans doute à jamais impossible. Sans doute est-ce mieux ainsi...»