Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Socialter N°59 : Sabotage : on se soulève et on casse ? - Août - Septembre 2023
Socialter - EAN : 3663322126130
Édition papier
EAN : 3663322126130
Paru le : 2 août 2023
7,50 €
7,11 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 3663322126130
- Réf. éditeur : 366332212613
- Editeur : Socialter
- Date Parution : 2 août 2023
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : M
- Nombre de pages : 100
- Format : H:280 mm L:210 mm E:6 mm
- Poids : 249gr
- Résumé : Alors qu’on le disait illégitime et inefficace, le sabotage semble bénéficier d’un regain d’intérêt chez les militants écolos, qui réinvestissent ces méthodes d’action tombées en désuétude depuis les années 1990 et renouent avec les premières heures du syndicalisme ouvrier.<br /><br /> En France, les derniers mois ont notamment été marqués par les actions spectaculaires contre les cimenteries Lafarge et les méga-bassines, mais aussi par une multitudes d’autres opérations de « désarmement », pour certaines non revendiquées, prenant pour cible des infrastructures et des biens écocidaires – golfs, SUV, autoroutes, fermes-usines, antennes 5G, etc...<br /><br /> Loin de faire l’unanimité parmi les activistes, la destruction de biens matériels continue d'alimenter de nombreux débats dans le camp écolo, tandis que du côté de l’État, l’heure est à la répression : accusation d’« éco-terrorisme », surveillance, gardes à vue prolongées, dissolution des Soulèvements de la Terre...<br /><br /> Une dérive autoritaire, dénoncent les défenseurs des libertés publiques, visant à dissuader par la peur les militants qui seraient attirés par des modes d’action plus musclés.
