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SOMME THÉOLOGIQUE : LA VIE HUMAINE
Cerf - EAN : 9782204090766
Édition papier
EAN : 9782204090766
Paru le : 1 avr. 2010
49,00 €
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- EAN13 : 9782204090766
- Réf. éditeur : 775509
- Collection : OEUVRES THOMAS
- Editeur : Cerf
- Date Parution : 1 avr. 2010
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Format : H:195 mm L:125 mm E:28 mm
- Poids : 526gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Ce volume regroupe les deux derniers traités de la Seconde partie de la « Somme théologique » de Thomas d'Aquin. « En son acception la plus générale, le terme de vie signifie l'activité profonde et spontanée des êtres de degré supérieur. Dans le sens plus déterminé où nous l'entendons ici, cette expression désigne le genre particulier d'activité auquel un être humain s'adonne de préférence et auquel il consacre le meilleur de son application. Ainsi est-on amené à distinguer, en s'inspirant d'une dichotomie que le christianisme a emprunté à la philosophie grecque, la vie contemplative qui est orientée vers la recherche et la considération désintéressées de la vérité, et la vie active qui se dépense en vue de l'action extérieure : double idéal du spéculatif et du praticien, lequel prend, en raison de la charité qui en est l'inspiratrice profonde, une toute autre tonalité dans la synthèse chrétienne que chez les païens. De fait c'est chez les Pères, saint Augustin et saint Grégoire surtout, lesquels avaient déjà transposé dans les perspectives évangéliques les formules helléniques, que saint Thomas puisera immédiatement son inspiration. Occupé en premier à distinguer et à définir séparément chacune des vies, notre Docteur, dans une détermination finale, donnera le primat à la vie contemplative, affirmation où les dires des sages de l'antiquité et les pressentiments de la conscience chrétienne se rencontrent. Mais reste que la perfection chrétienne consiste proprement dans la charité qui peut venir presser le contemplatif lui-même à interrompre sa vie de recueillement pour subvenir aux nécessités des autres. En définitive, dans le concret, Marie et Marthe qui symbolisent ici les deux vies, sont appelées à s'entr'aider aux fins supérieures de la divine charité Marie toutefois a choisi la meilleure part. » [H.-D. Gardeil, o.p.]