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Sonate pour clarinette op. 167 (arrangement pour clarinette et orchestre à cordes)
Symetrie - EAN : 9792023187691
Édition papier
EAN : 9792023187691
Paru le : 1 oct. 2014
50,00 €
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- EAN13 : 9792023187691
- Réf. éditeur : SYM-769
- Editeur : Symetrie
- Date Parution : 1 oct. 2014
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 57
- Format : H:297 mm L:210 mm E:5 mm
- Poids : 180gr
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Résumé :
Cette sonate date de l’extrême fin de la très longue carrière de Camille Saint-Saëns. Elle a été conçue à l’origine pour faire partie d’un ensemble de six sonates pour divers instruments à vent. Malheureusement, le compositeur mourra avant d’avoir pu mener à bien son projet, laissant achevées seulement trois sonates sur six : une pour hautbois et piano, une pour basson et piano, et enfin cette très belle sonate pour clarinette et piano dédiée à Auguste Périer, professeur au Conservatoire de Paris.
La présente orchestration a été réalisée en 2014 sur la suggestion du clarinettiste français Michel Lethiec qui en a donné la première audition à Washington le 12 octobre 2014 avec le National Gallery of Art Orchestra sous la direction de Philippe Entremont.
Fidèle au texte original (la partie de clarinette solo reste d’ailleurs inchangée), cette version tente d’amplifier et de mettre en relief, grâce aux infinies possibilités de différentiation des textures qu’offre un ensemble de cordes, le phrasé et l’articulation générale de la musique. - Biographie : Orphelin de père tout comme Charles Gounod, Saint-Saëns fut élevé par sa mère et sa grand-tante. C’est cette dernière qui l’initia au piano avant de le confier à Camille Stamaty puis à Pierre Maleden. Extraordinairement précoce, il fit sa première apparition en concert dès 1846. Deux ans plus tard, on le retrouve au Conservatoire dans les classes de Benoist (orgue) puis d’Halévy (composition). S’il échoua à deux reprises au concours de Rome, l’ensemble de sa carrière fut néanmoins ponctué d’une foule de récompenses ainsi que de nominations à divers postes institutionnels, dont une élection à l’Académie en 1878. Virtuose, titulaire des orgues de la Madeleine (1857-1877), il impressionna ses contemporains. Compositeur fécond et cultivé, il œuvra à la réhabilitation des maîtres du passé, participant à des éditions de Gluck et de Rameau. Éclectique, il défendit aussi bien Wagner que Schumann. Pédagogue, il compta parmi ses élèves Gigout, Fauré ou Messager. Critique, il signa de nombreux articles témoignant d’un esprit fort et lucide, quoique très attaché aux principes de l’académisme. C’est ce même esprit, indépendant et volontaire, qui le poussa à fonder en 1871 la Société nationale de musique, puis à en démissionner en 1886. Admiré pour ses œuvres orchestrales empreintes d’une rigueur toute classique dans un style non dénué d’audace (5 concertos pour piano, 5 symphonies dont la dernière avec orgue, 4 poèmes symphoniques, dont la célèbre Danse macabre), il connut une renommée internationale, notamment grâce à ses opéras Samson et Dalila (1877) et Henry VIII (1883).