Sonate pour deux violoncelles

Symetrie - EAN : 9790231801316
,
Édition papier

EAN : 9790231801316

Paru le : 18 janv. 2006

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  • EAN13 : 9790231801316
  • Réf. éditeur : SYM-0131-6
  • Editeur : Symetrie
  • Date Parution : 18 janv. 2006
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 95
  • Format : H:297 mm L:210 mm E:10 mm
  • Poids : 320gr
  • Résumé : Cette Sonate a d’abord été conçue (en 1995) pour violoncelle seul. Elle s’est rapidement révélée injouable sous cette forme. En 1996, elle a été repensée entièrement pour deux violoncelles. Il ne s’est pas agi alors d’une simple transcription, mais d’une véritable re-composition.

    L’œuvre adopte un plan traditionnel en quatre mouvements : un premier mouvement introductif, dont le déroulement libre – et semblant improvisé – l’apparente à une forme fantaisie, que suivent un scherzo, un adagio et un final à variations.

    Le sous-titre « The Battle of Agincourt » / « La Bataille d’Azincourt » (les Anglais disent « Agincourt » et non « Azincourt ») lui vient de ce que l’on entend à deux reprises en son sein le thème d’un chant profane (The Agincourt Tune, datant de 1415, l’année même de la bataille), qui a servi par la suite de base à un hymne religieux anglican. Ces deux citations sont d’un esprit fort différent l’une de l’autre. La première, qui hante le premier mouvement telle une apparition, est en valeurs longues ; la seconde, qui sert de thème aux variations du final, est en valeurs brèves, adoptant l’allure d’une sicilienne. Elles forment toutefois comme une grande arche au-dessus de la Sonate tout entière, renforçant à la fois son unité structurelle et son caractère de vaste méditation sur la guerre et sur la mort.

    Olivier Greif
  • Biographie : Né à Paris, le 3 janvier 1950, Olivier Greif accomplit des études musicales précoces. D’abord initié par Lucette Descaves et Yvonne Desportes, il entre au Conservatoire national supérieur de musique de Paris à dix ans. Il y est l’élève de Marcel Bitsch (solfège), Lucette Descaves (piano), Geneviève Joy (déchiffrage), Jean Hubeau (musique de chambre), Tony Aubin (composition, prix en 1967), Robert Blot (direction d’orchestre) et Marius Constant (orchestration).

    En 1969, il part pour les États-Unis. À New York, il complète ses études de composition auprès de Luciano Berio, alors professeur à la Juilliard School. L’année suivante, il est son assistant pour la création de son œuvre Opera à l’Opéra de Santa Fé au Nouveau-Mexique.
    Sa double carrière de compositeur et de pianiste concertiste l’amène à se produire dans de nombreux pays d’Europe ainsi qu’aux États-Unis et au Japon.

    Durant les années 1970, Olivier Greif enseigne la composition, l’analyse et la musique de chambre à l’Académie-Festival des Arcs, dont il assurera la direction artistique de 1983 à 1986. En 1978 et 1979, il enseigne également à Annecy dans le cadre des Pâques musicales. L’Opéra de Paris lui commande alors l’opéra de chambre Nô qui est créé en 1981 au Centre Georges Pompidou en co-production avec l’Ircam et le Festival d’Automne.

    En 1976, il s’engage dans une recherche spirituelle qui durera plus de 20 ans. Cette démarche le conduit à suspendre sa création musicale pendant une dizaine d’années, à l’exception de nombreux arrangements polyphoniques sur des chants dévotionnels indiens.

    À partir de 1990, il reprend peu à peu sa carrière de pianiste concertiste et son activité de compositeur, avec une intensité croissante jusqu’à sa mort survenue subitement le 13 mai 2000 à Paris.
    Cette période a été marquée par d’importantes commandes de Radio France et de différents festivals étrangers ou français (Kuhmo, Varsovie, Berlin, Deauville, Cordes-sur-Ciel, La Prée) et de nombreux engagements en tant qu’interprète. Profond et brillant, il était aussi un conférencier recherché et l’invité privilégié d’émissions radiophoniques.

    Olivier Greif laisse plus d’une centaine de partitions, répertoriées à partir de 1961 (il avait alors onze ans). Quelques partitions d’Olivier Greif ont été éditées de son vivant chez Leduc, Heugel, Durand, Eschig ou Salabert. Un ensemble beaucoup plus important a paru aux éditions Hapax en 2000-2001. Depuis la fin 2004, avec l’aide du Fonds d’action Sacem, un nouvel élan éditorial est donné avec Symétrie à Lyon.

    Pour plus d’informations sur Olivier Greif, consultez le site oliviergreif.com
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