Soulevé par le vent qui passe

EAN : 9790560142241

LACROUX

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Édition papier

EAN : 9790560142241

Paru le : 15 déc. 2021

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Détails

EAN13 : 9790560142241
Réf. éditeur : RUB-224-1
Date Parution : 15 déc. 2021
Disponibilite : Disponible
Nombre de pages : 33
Format : H:297 mm L:210 mm E:6 mm
Poids : 122gr

Résumé

Résumé : Trois mouvements autour du vent et des esprits émotionnels : le vent marin raconte le chagrin (Karuna) puis le Zéphyr vient, le vent qui frissonne et évoque la surprise et l’émerveillement (Adbutha), et enfin le vent d’Eissaure, celui qui efface tout et amène la paix, la tranquillité (Shanta).
Biographie : Guilhem Lacroux est baigné dans toutes les musiques dès son plus jeune âge, quelles soient psychédéliques et contemporaines ou traditionnelles. Il développe un goût pour les projets sans cloisons entre genres.

À six ans, il veut devenir ingénieur poétique et apprend le solfège, l’harmonie avec Bernard Defond. Il a été élève en composition instrumentale et électroacoustique de Denis Dufour et Jean-Marc Duchenne au C.N.R. de Lyon. Puis en écriture, analyse avec Alain Besson à l’E.N.M. de Villeurbanne et enfin en composition avec Robert Pascal et avec Jean-Louis Florentz en composition et ethno-musicologie au C.N.S.M.D. de Lyon.

Aujourd’hui, il écrit pour le concert (Calliope Voix de Femmes – Régine Theodoresco, Résonance Contemporaine – Alain Goudard, Fabrice Junger…) pour le théâtre et la danse (Julia Christ – Association W), pour l’image (Anush Hamzehian et Vittorio Mortarotti, Ludovic Sauvage) et les musées.

Il a été compositeur en résidence dans différents conservatoires (Voiron, Château-Gonthier, masterclasse au Pôle supérieur de Rennes). Il est membre fondateur du collectif La Novia et joue en solo, avec Faune, Toad, La Baracande, ainsi que dans Tanz mein Herz, le quatuor vocal 4anima et au sein de divers ensembles de musique ancienne (Les Chantres de Saint-Hilaire, l’Ensemble baroque de Toulouse).

Sa musique étant l’inverse de la sécheresse, on pourrait la qualifier d’humide : expressive, rêveuse, agglomérante ; elle monte, mène à l’abandon dans l’ivresse et tombe comme une pluie, avance au mépris de l’imperméabilité entre genres et registres, toujours confiante dans le fil ténu qui relie l’intime légèreté à l’universelle gravité.