Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Start-up mania
Calmann-Levy - EAN : 9782702166307
Édition papier
EAN : 9782702166307
Paru le : 5 févr. 2020
23,60 €
22,37 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782702166307
- Réf. éditeur : 3922544
- Collection : DOCUMENTS, ACTU
- Editeur : Calmann-Levy
- Date Parution : 5 févr. 2020
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 320
- Format : H:215 mm L:135 mm E:27 mm
- Poids : 410gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
En France, les start-up sont devenues l’objet d’un véritable culte. Elles font rêver les jeunes diplômés comme les investisseurs en tous genres… et les hommes politiques. On s’extasie à juste titre sur les « licornes » françaises : Doctolib, BlaBlaCar, Criteo… Mais ces réussites incontestables sont l’arbre qui cache la forêt des start-up (il y en aurait plus de 10 000 !)– celles pliées aussi vite qu’elles ont été créées, celles qui végètent, puis s’étiolent après un départ fulgurant. Pourtant, ce n’est pas faute de financements : par l’entremise des business angels et des venture capitalists, l’argent coule à flots dès qu’est prononcé le mot magique de « start-up ». Et l’État n’est pas en reste. Pour que la France accède au statut de « start-up nation » que le président appelle de ses vœux, il arrose l’écosystème de la French Tech d’aides en tous genres. Pourtant, tout devrait éveiller la méfiance des investisseurs : les start-up sont évaluées non pas en fonction de leurs profits – inexistants – mais de nouveaux critères non orthodoxes inventés pour les besoins de la cause. Certes, dira-t-on, mais n’est-ce pas la seule façon de voir émerger des Amazon, des Google ou des Uber européens ? Hélas, plusieurs experts nous expliquent pourquoi l’écosystème français est structurellement incapable de donner naissance à de tels géants. Les start-up sont-elles au moins utiles à l’économie du pays ? Pas davantage. Petits employeurs, gros consommateurs de subventions, championnes de la précarité, elles font (dans le meilleur des cas) la fortune de leurs seuls fondateurs, qui cherchent à vendre leurs parts le plus vite possible, souvent aux grosses sociétés dont elles « challengent » le business model…
Le crash est imminent, nous avertit Michel Turin. Vous avez aimé l’éclatement de la bulle de l’internet en 2000 ? écrit-il. Vous allez adorer celle des start-ups ! - Biographie : Michel Turin a été dix ans journaliste aux Échos, et chroniqueur économique à Radio Classique. Il est l’auteur de La Planète Bourse (« Découvertes Gallimard », 1993), Le Grand Divorce – Pourquoi les Français haïssent leur économie (Calmann- Lévy, 2006), Prix de l’Excellence Économique, et Profession Escroc (François Bourin Éditeur, 2010).