Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Stocamine, un avenir empoisonné ?
EAN : 9782959243905
Édition papier
EAN : 9782959243905
Paru le : 9 avr. 2024
20,00 €
18,96 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782959243905
- Date Parution : 9 avr. 2024
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 224
- Format : H:15 mm L:210 mm E:147 mm
- Poids : 454gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Alors que le Conseil d’État vient tout juste d’autoriser le démarrage des travaux définitifs de confinement des déchets à Stocamine, la bataille pour leur extraction semble mal engagée pour les opposants. Mais leur combat, sous diverses formes et structures, n’a en réalité jamais cessé tout le long des 30 dernières années, alors qu’on le pensait perdu à maintes reprises. Aujourd’hui, Yann Flory, l’un des principaux animateurs de la lutte menée durant ces trois décennies, et porte-parole du collectif Destocamine, prend la plume pour y partager son expérience et son intime conviction sur ce projet industriel insensé, visant à créer un stockage souterrain de déchets ultimes en couches géologiques profondes. . . sous la plus grande nappe phréatique d’Europe ! Hypothéquant de fait l’accès à nos ressources en eau. De l’origine du projet, et des promesses qui s’y trouvaient liées, des dissimulations de l’exploitant jusqu’au bouleversement dramatique causé par l’incendie de 2002, en passant par la lâcheté des autorités politique et du pouvoir exécutif, il revient sur cette histoire en restituant précisément les épisodes et enjeux qui la constituent. Sans langue de bois ni édulcoration, les 42 000 tonnes de poison que recèlent encore les entrailles de Stocamine se devaient d’être connues, documentées et déchiffrées, par l’un de ses meilleurs connaisseurs. Pour l’information éclairée du grand public et l’intérêt des générations futures, et afin que les conséquences de nos choix industriels cessent d’empoisonner l’avenir, tout en permettant de penser la soutenabilité de nos sociétés, aujourd’hui fort menacée.