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Sur la haute tour elle était nue
Al Manar - EAN : 9782913896567
Édition papier
EAN : 9782913896567
Paru le : 15 mars 2008
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- EAN13 : 9782913896567
- Editeur : Al Manar
- Date Parution : 15 mars 2008
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 32
- Format : H:220 mm L:150 mm E:7 mm
- Poids : 100gr
- Résumé : Conte médiéval, dit par Alain Gorius, rythmé par la poésie d'Etel Adnan et les dessins de Diane de Bournazel : le retour d'un chevalier, mort en Palestine, sur son cheval mort... Deux voix ici se croisent, l'une récitative, l'autre de plain-chant : Etel Adnan accompagne Alain Gorius "dans sa quête hallucinée d'images premières" ( Salah Stétié).
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Biographie :
Etel Adnan, née en 1925 au Liban, suit des études de littérature à la Sorbonne, puis obtient une maîtrise de poésie à Harvard. Elle a publié différents ouvrages (citons notamment Sitt Marie Rose, roman mettant en scène la guerre civile libanaise, traduit en plusieurs langues) et de nombreux recueils de poésie, en français et en anglais. Artiste autodidacte, elle découvre la peinture en s'intéressant aux tapisseries et aux céramiques ; elle commence à peindre à l'âge de 33 ans. Elle a souvent exposé aux Etats-Unis, et tout particulièrement à San-Francisco, mais également au Maroc et au Liban.
Alain GORIUS a longtemps vécu à Casablanca ; il travaille aujourd'hui à Paris. Responsable des Editions Al Manar, il s'est ouvert un chemin au carrefour de l'enseignement, du journalisme et de l'action culturelle. Il a publié deux recueils (éd. Polder/Décharge) : "Au creux du monde" et "Sang noir" ; chez Al Manar, "Ombre portée" (dessins et gravure de Mohammed Kacimi), "L'Ombre la brûlure", un ensemble de six nouvelles accompagnées par six peintres, arabes et français ; ce livre est publié, en un seul volume, par l'Atelier Vis-à-Vis (Marseille), en octobre 2006 ; et plusieurs livres d'artiste (avec Christiane Vielle, Yamou, Mohen, Anne Slacik). Ses chroniques ont paru, pour l'essentiel, dans deux revues culturelles très présentes dans le Maroc de la première moitié des années 90 : "Vision" et "Rivages".
"Sur la haute tour elle était nue" s'inscrit dans la continuité d'un travail commencé avec Vénus-Khoury-Ghata ("Stèle pour l'absent"), et qui s'est achevé avec la publication du troisième volet de ce triptyque, "La fontaine", écrit cette fois avec Aïcha Arnaout.