Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Sur les traces d'un secret enfoui. Enquête sur l'héritage toxique de la Grande Guerre
EAN : 9782841868292
Paru le : 2 juin 2016
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782841868292
- Réf. éditeur : 631484
- Collection : DOCUMENT
- Editeur : Michalon
- Date Parution : 2 juin 2016
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 284
- Format : H:241 mm L:157 mm E:24 mm
- Poids : 480gr
-
Résumé :
En 2011, lorsque surgit une question relative à la pollution des nappes phréatiques dans le Nord de la France par une substance chimique – le perchlorate – retrouvée dans l'eau du robinet au niveau des anciens champs de bataille de 14-18, le doute s'installe : y aurait-il un lien avec la Grande Guerre ? Là-bas, près de Verdun, en pleine forêt, rien ne pousse. Exception visible, ou n'a-t-elle fait qu'échapper au crible de l'oubli ? Que se cache-t-il sous terre, entre preuves et soupçons ?
À la fin de la Première Guerre mondiale, on estime au total, plus d'1,5 million d'obus chimiques et 300 000 obus explosifs ont ainsi été éliminés dans la Meuse, près de Verdun. L'usage, la destruction et le recyclage de cet arsenal cyclopéen constituent aujourd'hui un héritage toxique centenaire. La Meuse n'est ni un cas ni un département isolé : ailleurs, d'autres lieux ont assimilé le traumatisme tellurique de la Grande Guerre.
L'enquête historique et environnementale de Daniel Hubé, géologue de métier mais surtout par passion, ne figure dans aucun livre. Sa mission ? Faire émerger du passé des questions enfouies. Ses pérégrinations l'ont conduit vers des spécialistes des munitions, puis à se plonger dans les archives, en France et à l'étranger, avant de s'armer de drones pour restituer l'un des derniers secrets de la Grande Guerre et, ainsi, " évaluer la matière à panser ".
Un document unique qui pose, aujourd'hui plus que jamais, la question des pollutions de guerre et des désastres écologiques liés aux conflits du XXe siècle.