Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
SURSAUTS BRINDILLES ET PETARDS
Grasset - EAN : 9782246662013
Édition papier
EAN : 9782246662013
Paru le : 11 févr. 2004
13,90 €
13,18 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782246662013
- Réf. éditeur : 3771516
- Collection : LITTERATURE FRA
- Editeur : Grasset
- Date Parution : 11 févr. 2004
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 140
- Format : H:210 mm L:120 mm E:17 mm
- Poids : 190gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : « Je n'aime pas le passé mais il remonte souvent. Comme je ne sais pas quoi en faire je le découpe en morceaux je le peinturlure un peu et mets tout ça... où déjà ? Ah oui là ! pendant que je m'en souviens je vous le donne. » J-M Ribes Des aphorismes, des pièces courtes, des absurdités au quotidien, des rencontres, des morceaux de mémoire qui flottent à la dérive, et le théâtre principalement pour décor. Au hasard, quelques exemples de l'esprit et de la causticité de Jean-Michel Ribes : « Le grand comédien Pierre Arditi avait pour habitude quand il découvrait dans sa loge un caïman, même de petite taille, de le signaler immédiatement au régisseur. » « Quand Roland Topor riait, le pape se réveillait en sueur. » « Beaucoup de critiques entrent au théâtre avec l'air d'en sortir. » « On a dit que le trou du souffleur du Théâtre de la Ville était placé à l'endroit exact où Gérard de Nerval se pendit en janvier 1855. Malgré de nombreuses recherches personne n'a jamais trouvé un trou de souffleur au Théâtre de la Ville. Gérard de Nerval serait-il mort dans son lit ? »