Symphonie en ut mineur (conducteur A3)

Symetrie - EAN : 9790231808575
,
Édition papier

EAN : 9790231808575

Paru le : 1 oct. 2018

80,00 € 75,83 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9790231808575
  • Réf. éditeur : SYM-0857-5
  • Editeur : Symetrie
  • Date Parution : 1 oct. 2018
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 32
  • Format : H:420 mm L:297 mm E:5 mm
  • Poids : 280gr
  • Résumé : Les 6 Symphonies op. 6 sont composées en 1762 alors que Gossec est intendant de la musique chez les princes de Condé et de Conti.
    La troisième, en do mineur, comporte trois mouvements, coupe caractéristique des trois-quarts des symphonies de cette époque : allegro, minuetto grazioso et fugato. L’orchestration est typique des premières symphonies de Haydn (pupitre de vents réduit à deux hautbois et deux cors), mais elle s’inscrit aussi dans le mouvement Sturm und Drang (tempête et passion), mouvement politique, littéraire et musical qui apparaît à la fin des années 1760 et se caractérise par un goût marqué pour les tonalités mineures ou les effets imprévus.

    Élodie Girard
    sous la direction scientifique de
    Jean-Christophe Branger,
    (département de Musique et Musicologie
    UFR Arts Lettres et Langues-Metz, Université de Lorraine)
  • Biographie : Né en 1734 aux Pays-Bas, François-Joseph Gossec reçoit, dès l’âge de six ans, une formation en violon, clavecin, harmonie et composition. C’est à Paris, où il arrive en 1751, qu’il effectue toute sa carrière musicale et pédagogique jusqu’à sa mort en 1829. Soutenu par Rameau, il est engagé comme violoniste et continuiste chez Alexandre-Jean-Joseph Le Riche de La Popelinière. Il prendra d’ailleurs la direction de l’orchestre à la mort de son maître en 1756. Fondateur de plusieurs associations de concerts, dont le Concert des amateurs ou le Concert spirituel, Gossec dirige, à partir de 1784, l’École royale de chant et de déclamation. Celle-ci deviendra l’Institut national de musique, le Conservatoire, sous son impulsion et celle de Grétry. Il y enseignera d’ailleurs la composition jusqu’en 1814.
    Comme beaucoup de musiciens, Gossec fut très actif dans le mouvement révolutionnaire. Son répertoire comprend de nombreuses marches, symphonies pour vents ou chansons, qui servent le nouveau régime et relèvent d’une « musique civique ». L’Offrande à la liberté (1792), avec son orchestration de La Marseillaise, en est un exemple manifeste.
    Il reste également célèbre pour sa musique instrumentale et sa cinquantaine de symphonies qui ont contribué au développement du genre en France et lui valurent le surnom de « père de la symphonie française », principalement parce qu’« à chaque étape du développement de la symphonie en France, il se trouva parmi les innovateurs ». Les premières, antérieures à celles de Haydn, sont très italiennes avec leurs trois mouvements et leur orchestration pour cordes, alors qu’à partir de l’opus 4, l’ajout du menuet-trio, l’intégration des bois et le bithématisme de la forme sonate témoignent de l’influence de l’école de Mannheim.
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.