TABLEAUX

De Juillet - EAN : 9782365100755
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Édition papier

EAN : 9782365100755

Paru le : 4 janv. 2020

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  • EAN13 : 9782365100755
  • Editeur : De Juillet
  • Date Parution : 4 janv. 2020
  • Disponibilite : Epuisé
  • Barème de remise : NS
  • Format : H:200 mm L:260 mm
  • Poids : 501gr
  • Résumé : Cet ouvrage est la restitution de la résidence photographique de Cédric Martigny au sein du groupe Lamotte, entreprise de promotion immobilière située à Rennes. Par le biais d'un dispositif de lumières proche du studio, le premier chapitre de l'ouvrage théâtralise les mouvements des hommes et femmes sur les chantiers de construction. Le deuxième chapitre, consacré à la vie de bureau, met en scène les salariés de l'entreprise (bureau d'étude, comptabilité,...) en se référant à la peinture classique. « Cédric Martigny construit un environnement visuel et plastique dans une mise en scène qui relève aussi bien du film d’humour, du film muet que de cette peinture réaliste de l’École de Barbizon, Millet en particulier (on se souvient des Glaneuses dont Agnès Varda s’inspira pour son film éponyme), et des maîtres flamands pour leurs clairs-obscurs. Il y a par ces référents un effet de reterritorialisation du geste et un appel à toute une histoire visuelle, dont celle du cinéma, dans le fait qu’une image en appelle une autre... Ce rapport à l’imaginaire est fondé par le travail du photographe, qui donne la possibilité de représentation au geste de l’artisan, pour se repositionner dans le champ du visible, agit ici intentionnellement, également par la référence à Winogrand qui cherchait « à quoi ressemblent les choses quand elles sont photographiées ». Au vu de ses travaux précédents, Ateliers, Associations, Cédric Martigny évoque ici une possible représentation du travail ; celui-ci passe par le geste en raison du corps. « C’est par la représentation du geste qu’on va pouvoir parler du travail, dit-il, parce que c’est le corps qui engage le travailleur dans la pénibilité, la beauté, toute façon d’être au monde. Par nature le geste a une dimension esthétique, c’est une forme, un imaginaire ». Pascal Therme (extrait de la préface)
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