Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Tous nos fantasmes sexuels sont dans la nature
EAN : 9782755507072
Paru le : 27 mars 2013
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782755507072
- Réf. éditeur : 4207395
- Collection : LA PETITE COLLE
- Editeur : 1001 Nuits
- Date Parution : 27 mars 2013
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 144
- Format : H:150 mm L:105 mm E:11 mm
- Poids : 100gr
-
Résumé :
Tous nos fantasmes sont dans la nature. Preuve en est la copulation des insectes, qui offre le spectacle des fantasmes sexuels humains décrits par la psychanalyse, qu’il s’agisse des préliminaires, de l’acte en lui-même ou du comportement post coïtum. Les punaises pratiquent le viol ; l’abeille-reine castre le fauxbourdon avant de s’envoler avec son pénis, accomplissant le fantasme de bisexualité ; quant au fantasme de mort, il est aussi bien réalisé par des femelles moustiques, des araignées que par la mante religieuse, fécondées tandis qu’elles tuent et/ou dévorent le mâle. À partir de recherches éthologiques et de sa propre pratique clinique, l’auteur constitue un étonnant répertoire des comportements (du papillon aux termites), qui lui permet d’analyser de manière originale les rapports de la pensée et du corps dans la théorie psychanalytique et plus généralement le type de lien qui peut unir le fantasme au réel. Un livre culte depuis sa première édition en 1979. Tobie Nathan, professeur des Universités, écrivain et diplomate, est notamment l’auteur d’Ethno-roman (Grasset, Prix Femina essai 2012) et de Les Nuits de Patience (Rivages, 2013).