Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Traduit du silence
Gallimard - EAN : 9782070742158
Édition papier
EAN : 9782070742158
Paru le : 5 oct. 1995
12,00 €
11,37 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782070742158
- Réf. éditeur : A74215
- Collection : L'IMAGINAIRE
- Editeur : Gallimard
- Date Parution : 5 oct. 1995
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 294
- Format : H:191 mm L:134 mm E:16 mm
- Poids : 288gr
- Résumé : "4 janvier. Tumulte d'une passion trop forte pour entendre autre chose que sa propre voix. On dirait que mon coeur veut me chasser de ma poitrine ; et sa force m'est si cruelle que je la sens s'imposer à lui comme à moi-même et s'élargir entre ses battements comme une brûlure que rien ne peut apaiser." Joë Bousquet, blessé le 27 mai 1918 au combat à Vailly, n'a pas quitté le lit où le tinrent ses blessures, jusqu'en 1950. Voici le livre de ses cahiers, son journal intime ou plutôt le long poème de sa vie intérieure. "Je suis dans un conte que mes semblables prennent pour la vie." Voici ces pages accolées au fil du temps, ces mots jetés l'un devant l'autre qui tendent à un but inaccessible : "Pour traduire le silence, il faut vivre au-delà de son propre silence, entendre et retenir toutes les voix qui se taisent en nous."
- Biographie : Né à Narbonne le 19 mars 1897, Joë Bousquet devance l'appel en 1916. Blessé aux vertèbres à Vailly (dans l'Aisne) en 1918, il demeurera paralysé. Séjournant dès lors à Carcassonne, sa chambre devient un véritable salon littéraire. Il est mort dans la nuit du 27 au 28 septembre 1950.