Traité de la peinture - Léonard de vinci

Calmann-Levy - EAN : 9782702133781

Léonard De Vinci

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Édition papier

EAN : 9782702133781

Paru le : 23 avr. 2003

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Détails

EAN13 : 9782702133781
Réf. éditeur : 5175682
Collection : ALBUMS ET BEAUX
Editeur : Calmann-Levy
Date Parution : 23 avr. 2003
Disponibilite : Manque sans date
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 224
Format : H:310 mm L:240 mm E:20 mm
Poids : 1.856kg

Résumé

Résumé : Vers 1490, Léonard de Vinci, proche de la quarantaine, établi à la cour de Milan comme peintre, ingénieur et sculpteur, était convaincu de la nécessité de donner un nouveau statut à l'activité de peintre. Les notes qu'il jeta alors, et qui sont conservées dans le manuscrit A de l'Institut de France, attestent cette préoccupation à la fois sur les plans du métier, de la technique et de la théorie. La peinture est pour lui l'accomplissement suprême de l'activité spirituelle : elle est supérieure à la sculpture, qui ignore la couleur et le paysage ; elle est au-dessus de la poésie parce qu'elle explore "les oeuvres de la nature" ; couvrant la totalité du réel et de l'imaginaire, elle suppose une sorte d'enquête scientifique permanente, dont elle manifeste les résultats. Cette idée de l'art-science explique l'élargissement progressif des préoccupations de Léonard, qui substitue au manuel initialement prévu une véritable encyclopédie, de plus en plus difficile à maîtriser. Le Traité de la peinture finit ainsi par se confondre avec la vie intellectuellle de Léonard et en épouse, depuis l'an 1500, les vicissitudes, ce qui confère aux fragments - d'ailleurs très abondants- qui en subsistent un intérêt extraordinaire.Le Traité présenté ici ne prétend nullement reconstituer le plan de Léonard, qui n'a cessé d'évoluer. André Chastel, qui en donne une nouvelle traduction et le commente largement propose seulement un classement accessible au lecteur moderne, assorti de commentaires lui permettant d'entrer dans les speculazion singulières du vieux maître.
Biographie : Né enToscane, à Vinci, Léonard est fils de notaire. Il entre, en 1469, dans l'atelier de Verrochio à Florence. Appelé à Milan par Ludovic le More, il s'y installe en 1482. Peintre, sculpteur, il s'intéresse à l'urbanisme et à l'hydraulique. Devenu célèbre dans toute l'Europe, il quitte Milan en 1499. A Florence puis à nouveau à Milan (1506), il poursuit des travaux de mathématiques, d'anatomie et d'architecture. En 1513, c'est à Rome qu'il trouve refuge lorsque ses protecteurs français sont chassé de Milan. François 1er l'invite en 1516, le nomme "premier peintre, ingénieur et architecte du roi". Il réside dans les environs d'Amboise et y meurt en 1519 en laissant au roi quelques tableaux dont La Joconde.