Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Trois pièces facétieuses - Classiques et Contemporains
Magnard - EAN : 9782210755444
Édition papier
EAN : 9782210755444
Paru le : 21 juin 2010
5,40 €
5,12 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782210755444
- Réf. éditeur : 75544
- Collection : CLASSIQUES & CO
- Editeur : Magnard
- Date Parution : 21 juin 2010
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 80
- Format : H:180 mm L:130 mm E:6 mm
- Poids : 76gr
-
Résumé :
Ces trois courtes pièces comiques répondent parfaitement aux recommandations des nouveaux programmes de collège. Rien que des dialogues, voire des bribes, où les "brèves de musée" sonnent comme des "brèves de comptoir" et où la fantaisie le dispute à l'humour.
Les comédies courtes sont recommandées dans les nouveaux programmes de français pour la classe de 5e, " Théatre : la comédie"
- Biographie : Jean-Michel Ribes, né le 15 décembre 1946 à Paris, n’a que douze ans quand il tourne dans le film de fin de diplôme d’un étudiant, qui l’engage ensuite pour jouer dans Plouf, le petit fantôme. Il n’a pas cessé depuis de jouer, passant de la cour de récréation – où il découvre le moyen d’échapper à « l’esprit de sérieux des professeurs » – à la scène théâtrale, qu’il occupe avec bonheur depuis plus de quarante ans. Quand ses parents le mettent en pension, il s’empresse d’y monter un spectacle musical. À l’université – où il prépare une maîtrise de lettres et une licence d’espagnol – il crée avec ses amis Gérard Garouste et Philippe Khorsand la Compagnie du Pallium (1966) qui joue au théâtre de Plaisance un répertoire des plus diversifiés. Il ajoute alors à son activité d’acteur, de metteur en scène, de chef de troupe, celle d’auteur avec Les Fraises musclées (1970) qu’il met en scène et interprète avec son ami Philippe Khorsand. Le succès est immédiat et durable. En 1971, Il faut que le sycomore coule lui apporte la consécration en tant qu’auteur dramatique. Au cours des trente années suivantes, son nom n’a guère quitté le fronton des théâtres, soit comme auteur et metteur en scène de ses oeuvres, soit comme metteur en scène d’auteurs classiques (La Cagnotte d’Eugène Labiche à la Comédie-Française, 1988) ou contemporains (Brèves de comptoir, Jean-Marie Gourio, Théâtre Tristan Bernard, 1994). Dans le même temps, il réalise quelques films (Rien ne va plus, 1979 ; La galette du roi, 1986 ; Chacun pour toi, 1993) et réalise des séries télévisuelles : Merci Bernard, « un vrai magazine où tout est faux » pour FR3 (1982-1984), puis Palace pour Canal+ (à partir de 1988), caractérisées par un humour décapant. En 2000, il est élu président du collectif Eat (Écrivains associés du Théâtre) et nommé, en novembre 2001, directeur du Théâtre du Rond-Point, où il multiplie par trois le nombre de spectateurs, en choisissant de ne faire jouer dans ses trois salles que des auteurs vivants. Ces nouvelles responsabilités n’ont en rien entravé ses carrières d’auteur et de metteur en scène, qui lui ont valu, depuis une dizaine d’années, de nombreuses récompenses : Grand prix de l’Académie française pour l’ensemble de son oeuvre (2001) ; prix Plaisir du théâtre (2002) et, la même année, pour Théâtre sans animaux, les Molières du meilleur spectacle comique et du meilleur auteur. Ribes écrit d’autres pièces à succès (Musée haut, Musée bas) met en scène d’autres auteurs vivants (Grumberg, Dubillard, Sébastien Thiery, Thierry Illouz), réalise pour la télévision, puis pour le cinéma, l’adaptation de ses propres pièces : Batailles pour France 2 et Musée haut, Musée bas, où apparaît pour la dernière fois le compagnon de la première heure : Philippe Khorsand.