Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
UN ENFANT DE VÉLO
EAN : 9782873405113
Édition papier
EAN : 9782873405113
Paru le : 14 mars 2025
15,00 €
14,22 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
A paraître 14 mars 2025
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782873405113
- Date Parution : 14 mars 2025
- Disponibilite : Pas encore paru
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 112
- Format : H:1 mm L:120 mm E:170 mm
- Poids : 0gr
- Résumé : Et si le cinéma descendait du vélo ? Telle est bien l’hypothèse de ce petit livre impertinent, s’inspirant du premier film, La Sortie des usines Lumière, où l’on voit ouvrières et employés sortir joyeusement d’une manufacture d’optique. Au centre de ce plan inaugural, on trouve un homme en bécane. Son nom ? Francis Doublier. Il deviendra l’un des principaux opéra- teurs de la marque Lumière. Drôle de patronyme pour un art d’emblée dédié à la conser- vation de la mémoire. Impossible de ne pas opérer le rapprochement : cinématographe et premières courses cyclistes sont exactement contemporains : nouveaux moyens de trans- port. Le premier Paris-Roubaix date de 1896 et ce n’est pas un hasard, les deux arts étant régis par la même loi de Joule : tout corps en travail suscite une énergie et celle-ci en retour fait tourner la machine. Tel est le principe du cyclisme, tel est aussi celui du cinéma. Dans les deux cas, il s’agit de mettre du vivant sur du mécanique. Partant de ce constat, le livre, composé de trois volets – un essai inédit de Patrick Leboutte, historien du cinéma ET du vélo ; des extraits d’une correspondance poétique qu’entre 1969 et 1979, Jeanne Rahier, une ouvrière de Seraing, adressait à Eddy Merckx, en forme d’exer- cice d’admiration ; la réédition attendue de Cinégénie de la bicyclette, un ensemble allègre de trois textes érudits, publié par Yellow Now en 1995 et aujourd’hui épuisé – explore les accointances fécondes et les rapports fructueux entre septième art et petite reine, de la bécane comme outil de travail quotidien du prolétaire ou du facteur (Le Voleur de bicyclette, Jour de fête) jusqu’aux travaux d’Hercule des forçats de la route tels qu’immortalisés dans de mémorables documentaires (Vive le tour, La Course en tête, Un dimanche en enfer), en passant par quelques comédies loufoques, mais ô combien pertinentes (Toto al Giro d’Italia, Parpaillon, le Vélo de Ghislain Lambert).