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Un repas d’oiseaux
EAN : 9791094225080
Édition papier
EAN : 9791094225080
Paru le : 23 nov. 2017
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- EAN13 : 9791094225080
- Collection : INCORRIGIBLES
- Date Parution : 23 nov. 2017
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 84
- Format : H:148 mm L:210 mm E:10 mm
- Poids : 120gr
- Résumé : Les corps laissent des corps est un texte atypique qui nous fait partager le temps et le lieu d’une maison de retraite dans notre société actuelle, et par là même nous fait état de notre rapport à la mort, et à nos aïeux. Il y est question de vies toujours plus longues, plus lentes à se finir, confrontées aux liens profonds qui nous unissent. Réjouissons-nous, ayons la foi, et allongeons l’espérance de vie, car la plus révolutionnaire des découvertes, c’est que nous ne sommes pas programmés pour mourir ! Pour que le bonheur perdure, il faut de l’engagement, mais comment cela est-il possible ? Un repas d’oiseaux est un chant dramatique, une écriture lyrique qui parle du temps : un temps pour naître, un temps pour mourir, un temps pour les mots, un temps pour les choses, un temps qui est à d’autres, un temps qui est le nôtre. Cette écriture nous dit que nous sommes aussi seuls qu’accompagnés, des hommes et des animaux pris dans la danse de l’abondance et de la faim. Elle est le récit d’une épiphanie scénique qui célèbre la vie et ses adieux quand la brièveté de l’existence nous révolte. Un repas d’oiseaux parle de dévoration, d’amour et de mort. Prendrons-nous notre envol tout en laissant une trace dans ce monde ?
- Biographie : Traductrice de théâtre espagnol et hispano-américain, et spécialiste de la scène contemporaine espagnole, Marion Cousin est docteure en études théâtrales de l’Université Paris 3 – Sorbonne Nouvelle, où elle a soutenu en 2012, une thèse sur L’Auteur en scène. Analyse d’un geste théâtral et dramaturgie du texte né de la scène, consacrée au travail d’Angélica Liddell, Rodrigo García, Jan Lauwers et Joël Pommerat et, en 2007, un mémoire de master sur Le Théâtre de la désintégration : la jeune dramaturgie argentine face à sa reconstruction (dir. Jean-Pierre Ryngaert), à propos des écritures d’Alejandro Tantanian, Daniel Veronese, Rafael Spregelburd et Marcelo Bertuccio. Elle a traduit des textes de l’auteur et metteur en scène argentin Alejandro Tantanian, et des « auteurs en scène » espagnols Pablo Gisbert (El Conde de Torrefiel), Itsaso Arana, Violeta Gil et Celso Giménez (La Tristura), Juan Diego Calzada, Nazario Díaz et Ángela López (Vértebro Teatro), Albert Boronat, et Cristina Peregrina Ruiz. Elle collabore en tant que lectrice et traductrice avec la jeune maison Actualités Éditions depuis ses débuts, dédiée aux écritures contemporaines hispanophones pour la scène. Également musicienne, elle écrit et chante depuis onze ans avec le compositeur et musicien espagnol Borja Flames, notamment au sein de leur duo June et Jim avec lequel elle a publié deux disques, et elle se consacre aussi au collectage, à la transmission et l’interprétation des chants traditionnels de la péninsule ibérique, avec un premier disque paru en 2016 avec le violoncelliste Gaspar Claus, Jo estava que m’abrasava – Chants de travail et romances de Minorque et de Majorque. Elle fait partie du collectif d’artistes et label français Le Saule.