Un sentiment qui tient le mur

Atelier Cont - EAN : 9782850351303
Pierre Bonnard
Édition papier

EAN : 9782850351303

Paru le : 20 oct. 2023

8,50 € 8,06 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782850351303
  • Collection : STUDIOLO
  • Editeur : Atelier Cont
  • Date Parution : 20 oct. 2023
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 160
  • Format : H:11 mm L:115 mm E:160 mm
  • Poids : 142gr
  • Résumé : Pierre Bonnard était un « poète fervent de la vie brève, un célébrant du passage », comme le dit Alain Lévêque, dans son introduction à cette édition des écrits du peintre, réunissant ses notes et les entretiens qu’il donna à la presse. Pages d’agendas allant à l’essentiel en quelques mots, notes de carnets sous forme d’aphorismes dépouillés de grandiloquence, hommages à ses compagnons peintres, comme Maurice Denis, son ami du mouvement nabi, nommé selon le terme arabe qui signifie « ravi dans une extase », mais aussi Odilon Redon, Paul Signac ou Auguste Renoir : sa parole fut autant laconique que prolixe, ouvrant de multiples brèches pour consentir à « la vision brute », pour retrouver « une vision animale ». « Vous avez une petite note de charme, ne la négligez pas. Vous rencontrerez peut-être des peintres plus forts que vous, mais ce don est précieux. » Telles furent les paroles d’Auguste Renoir à Pierre Bonnard, alors jeune peintre inconnu, qui disent bien ce qui, dans la vision, dans les couleurs comme dans les formes, ne s’explique pas : cette « petite note de charme », précieuse, que le peintre n’a cessé de cultiver. Cela s’éclaire un peu, néanmoins, dans la définition que donne Bonnard du « peintre de sentiment », qu’il rêva d’être : « Cet artiste, on l’imagine passant beaucoup de temps à ne rien faire qu’à regarder autour de lui et en lui. C’est un oiseau rare. »
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.