UNE LARME DE RIWKA

EAN : 9782930582986

LAURENCE KLEINBERGER

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Édition papier

EAN : 9782930582986

Paru le : 2 mars 2023

18,00 € 17,06 €

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Détails

EAN13 : 9782930582986
Réf. éditeur : 58900
Collection : ROMAN
Date Parution : 2 mars 2023
Disponibilite : Disponible
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 162
Format : H:140 mm L:205 mm
Poids : 180gr

Résumé

Résumé : J’ai horreur de l’humour. Je déteste les libraires et je commande tout sur Amazon. Je ne trie jamais mes déchets et au supermarché je me dirige systématiquement vers les caisses automatiques. Même quand il y a des caissières disponibles. Parce que je n’aime pas les caissières. J’ai voté Macron ! J’ai voté... J’ai constamment les yeux qui suintent, ça me déprime... Je suis une fille détestable. D’ailleurs j’ai enfermé ma mère dans un hôtel de luxe. Roman juif, journal intime, autobiographie, livre humoristique, histoire de vies, mémoires, Une larme de Riwka c’est tout ça mais c’est surtout un vrai roman d’amour : l’amour superbe d’une fille pour sa mère. Au fil des pages, Laurence Kleinberger nous fait passer par toutes les émotions et nous offre un roman tendre et triste, aussi drôle que douloureux où la dérision, salvatrice, nous rappelle que la vie c’est ça et rien d’autre. Une vieille mère au cerveau à trous, ce n’est pas drôle. Pourquoi la déprime devient-elle ici si marrante ? Et bien, quand on a une mère « Alzheimer » et que l’on porte en soi toutes les larmes de la Shoah, quand votre histoire a des allures de four crématoire, à part rire en sanglots qu’est-ce qu’on peut faire pour survivre ?
Biographie : Laurence Kleinberger est « maîtresse des soucis » dans un centre psychopédagogique. Lorsqu’elle ne travaille pas, elle écrit des romans et la nuit, elle invente des histoires pour enfants. Elle affiche à toute heure un optimisme arrogant et presque irrespirable. Une légèreté qui la pousse à des actes insensés, comme d’appuyer sur le bouton afin que le feu passe au vert, planter un ananas en terre en espérant voir pousser un palmier ou faire confiance à l’humanité. Après J’ai pas tué Gérard, enfin je crois... et Le jour où mon alzhei’mère échappa aux griffes d’un nazi constipé grâce à un tueur croate à la coiffure étrange, elle récidive brillamment, avec son humour au vitriol, sa tendresse, son tragique, sa judaïté et sa folie !