Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
UNE MÉLANCOLIE CUBAINE
EAN : 9782363364005
Édition papier
EAN : 9782363364005
Paru le : 15 janv. 2020
20,00 €
18,96 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782363364005
- Collection : HORS COLL.
- Date Parution : 15 janv. 2020
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 72
- Format : H:210 mm L:210 mm
- Poids : 501gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : De Cuba, j’ai cela : des petits poèmes photographiques qui disent la vie, la dramatique beauté de la vie et la mélancolie. J’aurais pu tout aussi bien écrire la fantaisie, l’exubérance, la tristesse, la nostalgie, la frivolité, la profondeur ou l’ivresse. C’est comme cela que j’avance dans le noir, par fulgurances. Ma compréhension du réel passe par la photographie. J’attends d’une image qu’elle contienne assez d’énergie pour emmener loin, pour sauver ce qui peut l’être et dire ce qu’au premier abord on ne voit pas. De l’histoire très riche de Cuba, on peut faire de multiples lectures. Car tout est encore là dans une troublante épaisseur. Les paradis perdus, l’envie de vivre, la soif de modernité, l’appel du large, le désespoir et la nostalgie. Tout est là, confusément. Le poète et romancier Pedro Juan Gutierrez vit à La Havane. De notre rencontre sur sa petite terrasse qui domine le Malecon est né le désir de mêler nos voix et nos regards. Il m’a offert quatre poèmes, son univers. Ces textes ont leur vie propre au milieu des images. Ils habitent le livre, librement. N’y cherchez rien qu’un compagnonnage et une fraternité poétique. (Michel Durigneux)