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UNE VAGUE DANS LA MONTAGNE
Fiz Edition - EAN : 9782952651608
Édition papier
EAN : 9782952651608
Paru le : 1 mai 2006
18,00 €
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- EAN13 : 9782952651608
- Editeur : Fiz Edition
- Date Parution : 1 mai 2006
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Format : H:210 mm L:150 mm E:15 mm
- Poids : 505gr
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Résumé :
Une Vague dans la Montagne est un captivant roman historique dont l’intrigue se déroule dans une Savoie étrange et mystérieuse plongée au cœur d’un 19e siècle en pleins bouleversements. Un vallon maudit, un colporteur piémontais, une source d’eau chaude, il ne m’en fallait pas plus pour retracer la formidable épopée de la station thermale de Saint-Gervais-les-Bains.
Largement documenté et illustré de photos d’époques, cet ouvrage décrit avec justesse et réalisme l’évolution de ce gigantesque complexe médical et touristique. De la découverte de la source bienfaisante à la dévastatrice catastrophe de 1892 qui vint anéantir les thermes, le lecteur est emporté dans une succession de secrets et d’intrigues palpitantes.
LA SUITE DE CE ROMAN EST PARUE EN JUIN 2010 SOUS LE TITRE LA COLERE DU GLACIER
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Biographie :
Je suis née le 9 mai 1965 dans une petite clinique privée de Megève en Haute-Savoie.
Ce village était déjà une station renommée et les VIP de l’époque venaient en nombre skier sur les pentes enneigées et ensoleillées. Ma mère n’était pas une vedette du show-biz, mais elle aimait Megève. Elle était née dans ce village et toute sa famille y vivait. Elle était l’avant-dernière d’une tribu de 10 enfants, et connaissait bien le travail de la terre puisque ses parents étaient paysans. Elle avait toujours porté fièrement le nom de son père SOCQUET CLERC. Elle avait aussi du sang CHATRON MICHAUD dans les veines que sa mère lui avait transmis. Cependant, elle me donna le nom de MUGNIER, celui qu’elle avait accepté de porter un an plus tôt en épousant un gars de la plaine, un Domancherot. Jean-Claude était l’un des ainés d’une famille de 9 enfants. À cette époque les grandes tablées étaient monnaie courante et personne se s’étonnait de voir autant d’enfants sous le même toit. La famille Mugnier : Mon papa avait été bercé par les bruits de la ferme, puis par ceux de la batteuse ; son père Joseph partait à la fin de l’été pour sa campagne de battage et sillonnait le coin, de ferme en ferme jusqu’à l’hiver. L’entreprise de battage Mugnier était renommée. L’hiver venu, les batteurs se transformaient en distilateurs et ils partaient de longs mois en campagne avec l’alambic. Jean-Claude travaillait pour son père, et c’est ainsi qu’il fit la connaissance d’une Megevane qu’il épousa en 1964 ;Depuis son mariage, ma mère vivait à Domancy et montait régulièrement dans ses montagnes rendre visite à ses proches. Et c’est là que je décidais de pointer le bout de mon nez. Trois ans après ma naissance, j’ai eu le bonheur de partager ma chambre avec une petite sœur. Nous avons toujours vécu à Domancy et j’y ai planté mes racines profondément. À 19 ans j’ai lié ma vie à celle d’un jeune homme de Domancy. J’ai abandonné mon nom de jeune fille pour celui de GERFAUD-VALENTIN. Nous avons rapidement fondé une famille. D’un commun accord, nous avions fait un choix de vie : J’ai consacré tout mon temps à mes enfants. En 1986 Anthony est arrivé. Deux ans plus tard Guillaume. Puis vint Maxime. Trois garçons en pleine santé : que demander de plus ? Lorsqu’en 2000 notre petite Manon est arrivée, cela a comblé toute la famille. Je n’ai pas fait de grandes études, je n’ai pas étudié les lettres… Cependant, je pense m’être enrichie de choses bien plus précieuses que le savoir : l’amour, la tendresse.Le métier de Maman à plein temps n’est pas reconnu comme un véritable travail dans notre société. Et pourtant, des heures supplémentaires, j’en ai fait… Peu importe : je ne regrette pas un instant mon choix, d’autant plus que mon mari est le meilleur des papas qui soit. J’ai toujours aimé lire… du livre au cahier il y a qu’un pas. Mais je reconnais qu’il est grand !
Libre à tous de le franchir. C’est ce que j’ai fait. Tout d’abord en secret. Pas facile de dire que l’on écrit