Œuvres morales. Tome II : Traités 10-14

Belles Lettres - EAN : 9782251003726
Plutarque
Édition papier

EAN : 9782251003726

Paru le : 1 janv. 1985

59,00 € 55,92 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782251003726
  • Collection : COLLECTION DES
  • Editeur : Belles Lettres
  • Date Parution : 1 janv. 1985
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 546
  • Format : H:30 mm L:125 mm E:192 mm
  • Poids : 538gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé :

    Résumé des traités :

    CONSOLATION À APPOLONIOS

    Préambule : le moment propice à une consolation

    Ni insensibilité, ni excès dans la douleur

    Dans le malheur se comporter virilement

    Inconstance

    Obéir à la raison et se préparer aux vicissitudes de l'existence

    La mort n’est pas un mal, le cycle du devenir

    La sagesse socratique, la mort n’est peut-être qu’un sommeil

    La mort nous délivre de l’esclavage du corps

    La mort est la récompense de la piété

    La mort délivre de toutes les peines

    La mort prématurée

    La plus belle vie n’est pas la vie la plus longue

    Soumission aux dieux

    S’affliger est égoïste

    Les pleurs ne peuvent pas être éternels

    Se préparer à l’infortune

    Les excès dans le deuil sont indignes d’un grec

    La mort prématurée n’a rien d’affligeant

    La vraie façon d’honorer les morts

    Un deuil éternel n’est pas raisonnable

    La mort est préférable à la vie

    La vie nous est seulement prêtée

    Les leçons de la sagesse delphique

    Attitude insensée de ceux qui gémissent, méfaits des poètes

    La vie est brève, il faut l’utiliser à autre chose qu’à gémir

    Exemples de constance dans le malheur

    Éloge du défunt

    Le défunt est entré dans le bonheur éternel

    Mythe platonicien du « Gorgias » sur la vie future

    Épilogue

    PRÉCEPTES DE SANTÉ

    Préambule : médecine et philosophie

    Premier conseil : maintenir chaude les extrémités

    Second conseil : s’habituer au régime alimentaire des malades

    Précepte essentiel : la mesure

    Savoir refuser

    Ne pas manger sans faim ni boire sans soif

    N’accorder au corps que des plaisirs naturels

    Le plaisir même a besoin de la santé

    Il ne faut pas attendre d’être malade pour être tempérant

    L’excès favorise la maladie

    Tenir compte des symptômes

    Le plaisir que procure la nourriture dépend de notre santé

    Contre un régime trop rigoureux

    Observer tous les signes prémonitoires

    Leçons à tirer de nos amis malades

    Exercices recommandés aux intellectuels

    Préférer les bains chauds aux bains froids

    Préceptes concernant la nourriture

    Préceptes concernant la boisson

    Nobles moyens des intellectuels pour dominer leurs appétits

    Occupations appropriées après le repas

    Éviter vomitifs et purgatifs

    Pas d’abstinences strictes et à dates fixes

    Ni oisiveté ni surmenage

    Ménager le corps sans passer d’un extrême à l’autre

    Il faut se connaitre et savoir régler soi-même son régime

    Nécessité de l’harmonie de l’âme et du corps

    PRÉCEPTES DE MARIAGE

    Plutarque à Pollianos et à Eurycide

    Dédicace et prélude

    Le coin, symbole du charme de la jeune épouse

    L’asperge symbole de l’intimité

    Éviter les premiers heurts

    La flamme de la passion doit pénétrer jusqu’à l’âme

    Ne pas se contenter de la volupté

    La femme ne doit pas rendre l’homme insensé pour le dominer

    Pasiphaé, symbole de la luxure

    Le mari ne doit pas non plus abaisser sa femme

    La femme ne doit être visible qu’en présence de son mari

    La pudeur, gage de l’amour

    L’harmonie dans le couple

    Persuader par la douceur

    Ne pas se quereller devant autrui

    La femme doit accorder son humeur à celle de son mari

    L’homme, lui doit associer sa femme à ses plaisirs honnêtes

    L’homme ne doit pas associer sa femme à ses excès

    Le mari inspire ses propres penchants à sa femme

    Reserve de la femme dans les rapports conjugaux

    La femme ne doit avoir que les amis et les dieux de son mari

    Tout doit être commun aux époux

    Les amours chastes apportent le bonheur, les autres le malheur

    Les petits désaccords continuels ruinent la vie commune

    Les qualités morales, jointes aux autres avantages, rendent la femme invincible

    Sans les qualités morales, les avantages matériels ne sont rien

    La vertu a plus de prix que la beauté

    La dignité, vraie parure de la femme

    La dignité doit rester aimable

    L’excès de gravité vaut toutefois mieux que l’excès de hardiesse

    Privée de bijoux, la femme préfère rester chez elle

    La femme doit cacher ses paroles comme son corps

    La femme ne doit se montrer et parler qu’avec son mari

    L’homme doit commander, mais avec tendresse

    La véritable union est une fusion totale

    La femme ne doit pas nuire à l’affection du mari pour sa mère

    La femme doit s’attirer l’affection de ses beaux-parents

    La femme doit calmer avec douceur les colères du mari

    Le lit conjugal, terrain de réconciliation

    Le lit conjugal pour ignorer les querelles

    La femme ne doit pas écouter les méchants propos

    La femme ne doit pas songer à se séparer de son mari

    Il ne faut pas souiller le mariage, fécondation sacrée

    L’homme doit faire régner l’harmonie

    Le mari ne doit pas exciter la jalousie de sa femme

    La femme, elle, doit éviter se qui irrite son mari

    La femme légitime doit briller par ses vertus

    Le mari doit avoir le plus grand respect pour sa femme

    Péroraison : Mari et femme doivent s’abstenir d’un luxe excessif

    Le mari doit se cultiver et instruire sa femme

    La vertu, suprême parure de la femme, lui apporte aussi la gloire et le bonheur

    LE BANQUET DES SEPTS SAGES

    Prologue

    En route pour le banquet

    L’arrivée chez Périandre

    Le banquet

    Propos sur le gouvernement des États

    Le gouvernement domestique

    Le gouvernement de l’univers : la Providence divine

    Conclusion

    DE LA SUPERSTITION

    Sources de l’athéisme et de la superstition

    La superstition ajoute la crainte à l’erreur

    La crainte des dieux harcèle l’homme, même dans le sommeil

    Pas de refuge pour le superstitieux, même dans la mort

    Mieux vaut être athée que superstitieux, aveugle que fou

    La superstition transforme le bien en mal

    Comportements différents de l’athée et du superstitieux

    Le superstitieux ne fait qu’aggraver ses maux

    Dans la joie également, le superstitieux est malheureux

    La superstition plus impie que l’athéisme

    Le superstitieux, ennemi des dieux est un athée qui n’ose pas l’être

    La superstition favorise l’athéisme

    Rien n’est pire qu’une religion monstrueuse

    Il faut rejeter la superstition, non pour l’athéisme mais pour la piété

  • Biographie : Helléniste ; Agrégé de l'Université
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.